Ma démarche a été de rassembler une vingtaine de participant.e.s et de réaliser pour chacun
d’entre eux un portrait noir et blanc, regard caméra, pour se connecter à leurs émotions et leur
permettre de sortir de la honte. Le parti a été pris de recueillir seulement des témoignages de
personnes vivant autour de La Rochelle. Ainsi ces récits d’hommes et de femmes s’inscrivant dans un territoire défini, local, proche, viennent témoigner de l’omniprésence du monstrueux phénomène.